top of page

s o b e r i n g

87, rue de Turenne 75003 Paris

+ 33 (0)9 66 82 04 43

www.soberinggalerie.com

contact@soberinggalerie.com

 

PAVLOS

« Dans la vie on a toujours besoin d’un balai »*

 

14 décembre 2016 – 11 février 2017

Vernissage le 14 décembre 2016, de 18h à 21h

 

C’est au début des années 60, « face à la logorrhée abstraite qui s’est emparée de la peinture »1, que Pavlos décide de s’orienter vers un matériau« objectif ». Après avoir découvert les affiches du métro parisien, le peintre entame son travail de sculpture en utilisant des affiches massicotées recueillies auprès d’imprimeries.

 

Si Pavlos se distingue des affichistes du Nouveau Réalisme, c’est parce qu’il choisit de travailler la tranche du papier. Pierre Restany a d’ailleurs écrit qu’« on croyait que tout avait été dit sur l’affiche jusqu’au jour où Pavlos apparut. »2 En effet, ce dernier révèle la chair d’un matériau aux « possibilités d’expression infinies »3. L’artiste « coupe [le papier imprimé], le tord, mais ne le froisse jamais »4, au contraire, il est parfois contraint par le mouvement dicté par la matière.

 

En marge du retour au réel (Pop Art) et de la « nouvelle approche perceptive du réel»5 (Nouveau Réalisme), la démarche de Pavlos « n’est pas dogmatique et ne suit aucun programme. Elle consiste juste à dire : ‘‘Regardez ! Ici aussi il y a de la beauté !’’ »6

C’est à partir de 1966, après que Pavlos eut terminé sa série Baroque, qu’il commença à suggérer dans ses oeuvres les structures d’objets du quotidien.

« Soulignant la similarité des rythmes des bandes d’affiches massicotées et d’un dessin implicite, il organise leur répartition sur la toile jusqu’à faire coïncider le mouvement du papier avec l’image d’objets du monde réel. »7

 

Dans cette exposition, pas de figure humaine, pourtant, l’homme est bien présent « à travers les objets représentés ».8 Verre, bouteille, tasse, veste, chemise… Autant d’objets du quotidien. Ceux que l’usage façonne et que l’empreinte de leur propriétaire marque.

Ces objets quotidiens peuvent être scindés en deux catégories: « l’objet cosmocentré ou protocolaire »9 et « l’objet biocentrique ou biographique».10 Le premier, destiné à être remplacé, se caractérise par la brièveté de son passage dans un intérieur, tandis que le second est intrinsèquement lié à l’intimité de son propriétaire. « Les objets usuels […] sont en symbiose vivante avec leur possesseur ; […] ils vieillissent au même pas que lui, ils s’incorporent à la durée de ses activités.»11

 

« Dans la vie on a toujours besoin d’un balai » ne confine pas l’objet à sa stricte utilité, au contraire, l’exposition invite à découvrir les objets biographiques de Pavlos. Leur représentation le « rapproche curieusement davantage de l’humain que [s’il] cherchait à le représenter directement. »12

En concrétisant les images mentales de l’objet, l’artiste met l’universalité de l’objet en regard de son individualisation. C’est ainsi que « la relation intime sujet/objet [dépasse] le seul rapport technique et gestuel. »13 A ce titre, Pavlos explique que lorsqu’« un objet [lui] fait penser à quelqu’un, [il est] beaucoup plus près de cette personne que lorsqu’elle se trouve en face de [lui]. »14

 

Georges Perec, à propos de sa table de travail, confesse « que les objets qui [y] sont, […] sont là parce qu’[il] tient à ce qu’ils y soient. »15 A l’instar de l’auteur dans ses « Notes concernant les objets qui sont sur [sa] table de travail », Pavlos s’est interrogé sur les objets de son environnement créatif et a ainsi réalisé en 1994 une installation intitulée « L’atelier de l’artiste ».

 

Pavlos prélève, dans le quotidien, des objets à résonnance poétique. Libre à chacun de les « rempli[r] avec ses désirs et ses rêves. »16 Malgré le processus d’accumulation, chaque objet biographique est un repère : « Le temps qui passe, selon Perec, […] dépose des résidus qui s’empilent ; des photos, des dessins, des corps de stylos-feutres depuis longtemps desséchés, des chemises, des verres perdus, des verres consignés, des emballages de cigares, des boîtes, des gommes, des cartes postales, des livres, de la poussière et des bibelots : c’est ce [qu’il] appelle [sa] fortune. »17

 

Dans un souci d’universalité, Pavlos représente des objets qui n’appartiennent pas à un individu en particulier. Comme dans une vitrine « qui sépare le monde réel d’un monde imaginaire […] les objets sont là, accessibles, mais seulement pour le regard. »18 Plus largement, les objets du quotidien ont une portée sociale en ce qu’ils « peuvent devenir des signes distinctifs des groupes qui les utilisent »19, mais pas seulement. A l’échelle individuelle, ces objets atteignent parfois le statut d’objets dits souvenirs. Ils deviennent « des ‘‘objets d’affection’’ dans la mesure où les sentiments sont au principe de l’attachement qu’on leur témoigne et qu’il paraît impossible à leurs détenteurs de s’en séparer. »20

 

Malgré la variété des objets quotidiens, aussi « nombreux […] [que] les espèces naturelles peuplant le monde »21, la sélection de l’exposition s’est portée sur des oeuvres de Pavlos représentant des objets à la charge intimiste. Certes, ces témoins de l’humaine condition soutiennent nos habitudes, mais parfois ils dépassent le champ fonctionnel pour gagner l’affection, symboliser un souvenir et formaliser des aspirations. Les oeuvres de Pavlos contiennent tous ces aspects, et plus encore. Pavlos ne réinvestit pas seulement le réel par l’objet, il réussit « à refaire le monde.»22

 

 

 

 

* « Dans la vie on a toujours besoin d’un balai », extrait du texte de Pavlos

publié dans l’ouvrage Chirossophos, Collection « L’art en écrit », Editions

Jannink, 2006

 

1. Catalogue de l’exposition Pavlos, 30 ans de papier, Chapelle de la Sorbonne,

Editions Lannoo Tielt, 1992, préface de Daniel Abadie.

 

2. Ibid. Citation de Pierre Restany, p. 60, après le salon des Réalités

Nouvelles (1963).

 

3. Ibid. Citation de Pavlos, p. 60, « J’avais tellement de plaisir à manier ce

matériau que, avec le temps, le matériau lui-même révélait des possibilités

d’expression infinies. »

 

4. PAVLOS, Chirossophos, Collection « L’art en écrit », Editions Jannink, 2006

 

5. Définition du Nouveau Réalisme par Pierre Restany (Premier manifeste, octobre 1960 / 40° au-dessus de dada, juin 1961).

 

6. PAVLOS, Chirossophos, Collection « L’art en écrit », Editions Jannink, 2006

 

7. Catalogue de l’exposition Pavlos, 30 ans de papier, Chapelle de la Sorbonne,

Editions Lannoo Tielt, 1992, préface de Daniel Abadie.

 

8. PAVLOS, Chirossophos, Collection « L’art en écrit », Editions Jannink, 2006.

« On ne trouve aucune figure humaine dans aucun de mes travaux. La présence

de l’homme y est cependant constante à travers les objets représentés. »

 

9. MORIN, Violette, L’objet biographique, Communications/ Ecole pratique des

hautes études – centre d’études des communications de masse / Année 1969

Volume 13 Numéro 1 pp. 131-139, Fait partie d'un numéro thématique : Les

objets.

 

10. Ibid.

 

11. Ibid.

 

12. PAVLOS, Chirossophos, Collection « L’art en écrit », Editions Jannink, 2006.

« Fabriquer une cravate ou une paire de chaussettes, me rapproche

curieusement davantage de l’humain que si je cherchais à le représenter

directement. »

 

13. BONNOT, Thierry, L’Attachement aux choses, CNRS Editions, coll. « Le passé

recomposé», 2014, 240 pages.

 

14. PAVLOS, Chirossophos, Collection « L’art en écrit », Editions Jannink, 2006.

« Quand un objet me fait penser à quelqu’un, je suis beaucoup plus près de

cette personne que lorsqu’elle se trouve en face de moi. »

 

15. PEREC, Georges, Penser/Classer, 1985, Essai intitulé « Notes concernant les

objets qui sont sur [s]a table de travail », Collection « La Librairie du

XXIe siècle », Editions du Seuil, 2003, 192 pages.

 

16. PAVLOS, Chirossophos, Collection « L’art en écrit », Editions Jannink, 2006.

. « Ils [les objets] n’appartiennent à personne en particulier et chacun les

remplit avec ses désirs et ses rêves. »

 

17. PEREC, Georges, Espèces d’espaces, 1974, Collection « L’espace critique »,

Editions Galilée, réédition de 2000.

 

18. PAVLOS, Chirossophos, Collection « L’art en écrit », Editions Jannink, 2006.

« Le plexiglas n’a pas seulement une fonction protectrice dans mes oeuvres, il

est comme la vitrine qui sépare le monde réel d’un monde imaginaire. »

 

19. DASSIE, Véronique, Objets d’affection, Ethnologie de l’intime, 2010, Le

regard de l’ethnologue n°22, Éditions du Comité des travaux historiques et

scientifiques.

 

20. Ibid.

 

21. BOUDON, Pierre, Sur un statut de l’objet : différer l’objet de l’objet,

Communications Année 1969 Volume 13 Numéro 1 pp. 65-87. Fait partie d'un

numéro thématique : Les objets.

 

22. Catalogue de l’exposition Pavlos, 30 ans de papier, Chapelle de la Sorbonne,

Editions Lannoo Tielt, 1992, préface de Daniel Abadie.

 

s o b e r i n g

87, rue de Turenne 75003 Paris

+ 33 (0)9 66 82 04 43

www.soberinggalerie.com

contact@soberinggalerie.com

 

PAVLOS

«Στη ζωή πάντα χρειαζόμαστε μια σκούπα»*

 

14 Δεκεμβρίου 2016 – 11 Φεβρουαρίου 2017

Εγκαίνια στις 14 Δεκεμβρίου 2016, 18:00-21:00

 

Στις αρχές της δεκαετίας του 60, «απέναντι στην αφηρημένη λογόρροια που κυρίευσε την τέχνη[1]», ο Pavlos αποφασίζει να προσανατολιστεί προς ένα «αντικειμενικό» υλικό. Αφού ανακάλυψε τις αφίσες του παρισινού μετρό, ο ζωγράφος ξεκινά τη γλυπτική χρησιμοποιώντας αφίσες κομμένες στη χαρτοκοπτική μηχανή που μάζευε από τα τυπογραφεία.

 

Ο Pavlos διακρίνεται από τους καλλιτέχνες του Νέου Ρεαλισμού που δούλευαν με αφίσες γιατί επιλέγει να δουλέψει τη λωρίδα του χαρτιού. Ο Πιερ Ρεστανύ είχε γράψει: «νομίζαμε ότι είχαν ειπωθεί όλα σχετικά με την αφίσα μέχρι τη μέρα που εμφανίστηκε ο Pavlos»[2]. Όντως αποκάλυψε τη σάρκα ενός υλικού με «απεριόριστες δυνατότητες έκφρασης»[3].

 

Ο καλλιτέχνης «κόβει [το τυπωμένο χαρτί]. Το διπλώνει αλλά δεν το τσαλακώνει ποτέ»[4]. Αντιθέτως, κάποιες φορές ο ίδιος περιορίζεται από την κίνηση που υποδεικνύει το υλικό.

Στο περιθώριο της επιστροφής στο πραγματικό (Pop Art) και της «νέας προσέγγισης αντίληψης του πραγματικού»[5] (Νέος Ρεαλισμός), η πορεία του Pavlos «δεν είναι δογματική και δεν ακολουθεί κανένα πρόγραμμα. Αρκείται απλά στο να πει: «κοιτάξτε! Και εδώ υπάρχει ομορφιά!»[6]

Από το 1966, αφού ο Pavlos τελείωσε τη σειρά του Baroque, ξεκίνησε να προτείνει στα έργα του δομές αντικειμένων της καθημερινότητας. «Τονίζοντας την ομοιότητα των ρυθμών των κομμένων αφισών και ενός σχεδίου που υπονοείται, οργανώνει την αναδιανομή τους στον καμβά μέχρι να εναρμονίσει την κίνηση του χαρτιού με την εικόνα αντικειμένων του πραγματικού κόσμου.»[7]

 

Σε αυτήν την έκθεση, δεν υπάρχει ανθρώπινη φιγούρα και όμως ο άνθρωπος είναι παρών «μέσα από τα αντικείμενα που παρουσιάζονται».[8]  Ποτήρι, μπουκάλι, φλιτζάνι, σακάκι, πουκάμισο… τόσα αντικείμενα της καθημερινότητας. Εκείνα που η χρήση διαμορφώνει και το αποτύπωμα του ιδιοκτήτη τους τα καθορίζει.

Αυτά τα καθημερινά αντικείμενα μπορούν να διαχωριστούν σε δύο κατηγορίες: «το κοσμοκεντρικό ή εθιμοτυπικό αντικείμενο»[9] και το «βιοκεντρικό ή βιογραφικό αντικείμενο»[10]. Το πρώτο προορισμένο να αντικατασταθεί, χαρακτηρίζεται από την βραχύτητα του περάσματός του σε ένα εσωτερικό, ενώ το δεύτερο είναι αναπόσπαστα συνδεδεμένο με την προσωπική ζωή του ιδιοκτήτη του. «Τα χρηστικά αντικείμενα […] είναι σε ζωντανή συμβίωση με τον κάτοχό τους, […] γερνούν όπως κι εκείνος, ενσωματώνονται στη διάρκεια των δραστηριοτήτων του».[11]

 

Η έκθεση «Στη ζωή χρειαζόμαστε πάντα μια σκούπα» δεν περιορίζει το αντικείμενο στην απλή του χρήση, αντίθετα μας προσκαλεί να ανακαλύψουμε τα βιογραφικά αντικείμενα του Pavlos. Η αναπαράστασή τους «τον φέρνει παραδόξως πιο κοντά στον άνθρωπο που ήθελε να αναπαραστήσει ευθέως.»[12] Συγκεκριμενοποιώντας τις νοητικές απεικονίσεις του αντικειμένου, ο καλλιτέχνης βάζει την καθολικότητα του αντικειμένου απέναντι στην ατομικότητά του. Γι’ αυτό «η προσωπική σχέση υποκειμένου/αντικειμένου [ξεπερνά]  την τεχνική και χρηστική σχέση».[13]

Κατά τον ίδιο τρόπο ο Pavlos εξηγεί ότι όταν «ένα αντικείμενο [τον] κάνει να σκεφτεί κάποιον, βρίσκεται πιο κοντά σε εκείνο το άτομο από ότι όταν βρίσκεται απέναντί του». [14]

 

Ο Ζωρζ Περέκ, σχετικά με το τραπέζι εργασίας του, εξομολογείται ότι «τα αντικείμενα που είναι εκεί βρίσκονται σε αυτήν τη θέση επειδή εκεί θα ήθελε να είναι».[15] Κατά το παράδειγμα του συγγραφέα στο «Σημειώσεις σχετικά με τα αντικείμενα που βρίσκονται στο τραπέζι εργασίας [του]», ο Pavlos αναρωτιέται σχετικά με τα αντικείμενα του δημιουργικού του περιβάλλοντος και δημιουργεί το 1994 μια καλλιτεχνική εγκατάσταση με τίτλο «Το ατελιέ του καλλιτέχνη».

 

Ο Pavlos παίρνει από την καθημερινότητα αντικείμενα με ποιητική συνδήλωση. Ο καθένας είναι ελεύθερος να τα «γεμίσει με τις επιθυμίες και τα όνειρά του».[16] Παρά τη διαδικασία συσσώρευσης, κάθε βιογραφικό αντικείμενο είναι ένα σημάδι: «Ο χρόνος που περνά, σύμφωνα με τον Περέκ,  αφήνει κατάλοιπα που στοιβάζονται, φωτογραφίες, σχέδια, σώματα μαρκαδόρων ξεραμένων εδώ και καιρό, πουκάμισα, χαμένα ποτήρια, ποτήρια μιας χρήσης, πακέτα πούρων, κουτιά, γόμες, καρτ-ποστάλ, βιβλία, σκόνη και μπιμπελό: αυτά είναι όσα ονομάζει περιουσία του».[17]

 

Σε έναν προβληματισμό οικουμενικότητας, ο Pavlos αναπαριστά αντικείμενα που δεν ανήκουν σε κάποιον συγκεκριμένα. Όπως σε μια βιτρίνα «που διαχωρίζει τον πραγματικό κόσμο από τον φανταστικό […] τα αντικείμενα είναι εκεί αλλά μόνο για το βλέμμα».[18]

Ευρύτερα, τα αντικείμενα της καθημερινότητας έχουν μια κοινωνική χροιά καθώς «μπορούν να γίνουν σημεία διαχωρισμού των ομάδων που τα χρησιμοποιούν»[19], μα όχι μόνο. Σε ατομική κλίμακα, αυτά τα αντικείμενα αγγίζουν κάποιες φορές το καθεστώς των αντικειμένων που ονομάζουμε αναμνηστικά. Γίνονται «αντικείμενα στοργής» στο πλαίσιο του ότι τα συναισθήματα είναι η βάση της προσκόλλησης που τους αποδίδουμε και φαίνεται απίθανο στους κατόχους τους να τα αποχωριστούν».[20]

 

Παρά την ποικιλία των καθημερινών αντικειμένων, τόσο «πολυάριθμα […] όσο και τα φυσικά είδη που κατοικούν στον κόσμο»[21], η επιλογή της έκθεσης αναφέρεται σε έργα του Pavlos που αναπαριστούν αντικείμενα με ιδιωτικό φορτίο. Φυσικά, αυτοί οι μάρτυρες της ανθρώπινης κατάστασης στηρίζουν τις συνήθειές μας, αλλά κάποιες φορές ξεπερνούν το λειτουργικό πεδίο για να κερδίσουν στοργή, να συμβολίσουν μια ανάμνηση και να διαμορφώσουν προσδοκίες. Τα έργα του Pavlos περιέχουν όλες αυτές τις πλευρές και ακόμα περισσότερες. Ο Pavlos δεν αποδίδει απλά το πραγματικό μέσω του αντικειμένου, καταφέρνει να «ξαναφτιάξει τον κόσμο».[22]

 

Μετάφραση Κατερίνα Σιάνη

 

 

*«Στη ζωή χρειαζόμαστε πάντα μια σκούπα», απόσπασμα του κειμένου του Pavlos που δημοσιεύτηκε στο βιβλίο Chirossophos, Συλλογή « L’art en écrit », εκδόσεις Jannink, 2006

 

[1] Catalogue de l’exposition Pavlos, 30 ans de papier, Chapelle de la Sorbonne,

Editions Lannoo Tielt, 1992, préface de Daniel Abadie.

 

[2] Ibid. Citation de Pierre Restany, p. 60, après le salon des Réalités

Nouvelles (1963).

 

[3] Ibid. Citation de Pavlos, p. 60, « J’avais tellement de plaisir à manier ce

matériau que, avec le temps, le matériau lui-même révélait des possibilités

d’expression infinies. »

 

[4] PAVLOS, Chirossophos, Collection « L’art en écrit », Editions Jannink, 2006

 

[5] PAVLOS, Chirossophos, Collection « L’art en écrit », Editions Jannink, 2006

 

[6] PAVLOS, Chirossophos, Collection « L’art en écrit », Editions Jannink, 2006

 

[7] Catalogue de l’exposition Pavlos, 30 ans de papier, Chapelle de la Sorbonne,

Editions Lannoo Tielt, 1992, préface de Daniel Abadie.

 

[8] PAVLOS, Chirossophos, Collection « L’art en écrit », Editions Jannink, 2006.

« On ne trouve aucune figure humaine dans aucun de mes travaux. La présence

de l’homme y est cependant constante à travers les objets représentés. »

 

[9] MORIN, Violette, L’objet biographique, Communications/ Ecole pratique des

hautes études – centre d’études des communications de masse / Année 1969

Volume 13 Numéro 1 pp. 131-139, Fait partie d'un numéro thématique : Les

objets.

 

[10] Ibid.

 

[11] Ibid..

 

[12] PAVLOS, Chirossophos, Collection « L’art en écrit », Editions Jannink, 2006.

« Fabriquer une cravate ou une paire de chaussettes, me rapproche

curieusement davantage de l’humain que si je cherchais à le représenter

directement. »

 

[13] BONNOT, Thierry, L’Attachement aux choses, CNRS Editions, coll. « Le passé

recomposé», 2014, 240 pages.

 

[14] PAVLOS, Chirossophos, Collection « L’art en écrit », Editions Jannink, 2006.

« Quand un objet me fait penser à quelqu’un, je suis beaucoup plus près de

cette personne que lorsqu’elle se trouve en face de moi. »

 

[15] PEREC, Georges, Penser/Classer, 1985, Essai intitulé « Notes concernant les

objets qui sont sur [s]a table de travail », Collection « La Librairie du

XXIe siècle », Editions du Seuil, 2003, 192 pages.

 

[16] PAVLOS, Chirossophos, Collection « L’art en écrit », Editions Jannink, 2006.

. « Ils [les objets] n’appartiennent à personne en particulier et chacun les

remplit avec ses désirs et ses rêves. »

 

[17] PEREC, Georges, Espèces d’espaces, 1974, Collection « L’espace critique »,

Editions Galilée, réédition de 2000.

 

[18] PAVLOS, Chirossophos, Collection « L’art en écrit », Editions Jannink, 2006.

« Le plexiglas n’a pas seulement une fonction protectrice dans mes oeuvres, il

est comme la vitrine qui sépare le monde réel d’un monde imaginaire. »

 

[19] PAVLOS, Chirossophos, Collection « L’art en écrit », Editions Jannink, 2006.

« Le plexiglas n’a pas seulement une fonction protectrice dans mes oeuvres, il

est comme la vitrine qui sépare le monde réel d’un monde imaginaire. »

 

[20] Ibid

 

[21] BOUDON, Pierre, Sur un statut de l’objet : différer l’objet de l’objet,

Communications Année 1969 Volume 13 Numéro 1 pp. 65-87. Fait partie d'un

numéro thématique : Les objets.

 

[22] Catalogue de l’exposition Pavlos, 30 ans de papier, Chapelle de la Sorbonne,

Editions Lannoo Tielt, 1992, préface de Daniel Abadie.

Un magazine franco-grec / Ένα γαλλοελληνικό περιοδικό

Clique, lis, écoute / Κλίκαρε, διάβασε, άκουσε

bottom of page