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Un livre sur l’étagère

L'envoûtante culpabilité du monde marin de Nikos Kavvadias, le Quart.

Chaque fois que je prends quelque chose à la hâte dans la bibliothèque, au delà de la poussière qui en tombe, c'est aussi l'occasion de jeter à nouveau un œil sur un livre. Cette fois-ci ce fut un dossier de photocopies, daté de 2000-2001 intitulé Proses et poèmes hors corpus, Nikos KAVVADIAS. Date lointaine, dans une petite salle de l'Institut de littérature néo-hellénique à la Sorbonne, quand le professeur Guy* Saunier, avec les photocopies qu'il nous distribuait, partageait aussi sa passion pour le poète.

« Les 11000 verges. Les amours d’un hospodar », Guillaume Apollinaire

La littérature érotique a toujours été mon genre littéraire préféré. Mon premier contact avec  elle fut « La philosophie dans le boudoir » du Marquis de Sade, un texte inconnu de moi à cette époque, acheté, je n’avais pas encore 18 ans, à la boutique du musée érotique de Paris- en ce temps-là, je sautais allègrement tous les développements philosophiques.

« 24 heures de la vie d’une femme », Stefan Zweig

Sans passion(s), pourquoi écririons-nous des livres ? Voilà ce qui m’est venu à l’esprit en refermant un roman de Stefan Zweig, acheté -2 euros !-dans une librairie d’occasion de la rue « Ippocratous ».

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